Pour patienter, je vous propose de (re)découvrir sa facette musicale et jazzy avec une de ses chansons les plus marquantes : La Complainte du Progrès, critique de la société de consommation en plein développement en 1956 lorsque cette chanson a été écrite.
Et l'on retrouve toujours la "patte Vian" : un humour décapant et des inventions inimaginables (qui se sert d'un repasse-limace ?!?)
Si vous voulez aller plus loin dans la découverte des morceaux de Boris Vian, je vous conseille le disque "Hommage à Boris Vian" sorti en 2009. Deux CD dans lesquels on retrouve les tubes de Boris Vian (Le Déserteur, On n'est pas là pour se faire engueuler, Fais-moi mal Johnny...) ainsi que des morceaux inédits (C'est ici, S'il pleuvait des larmes) interprétés par des artistes actuels (attention, n'espérez pas trouver la nouvelle génération R n' B de "Génération Goldman"...).